Les entreprises Lyreco et Cosmolys ont développé une filière de valorisation des masques à usage unique en billes de plastique destinées à l’industrie automobile française.

Que faire des masques à usage unique utilisés pour lutter contre l’épidémie de covid-19 ? « À l’échelle française, une consommation de deux masques jetables par personnes et par jour représenterait environ 400 t de déchets plastiques produits quotidiennement », avertit l’association Zero Waste France. De nombreuses entreprises se sont donc mises à les « décycler », c’est-à-dire à récupérer leur matériau pour fabriquer d’autres objets en plastique, plus ou moins utiles. Or, l’industrie automobile a recours à de nombreux composants plastiques.

Lyreco, spécialiste de la distribution de produits et services pour l’environnement de travail, et Cosmolys, spécialiste de la gestion de déchets d’activités de soins à risques infectieux (DASRI), ont ainsi développé une filière de collecte et de revalorisation des masques jetables à destination de l’industrie automobile française.

Du masque jetable à la bille plastique

En pratique, des conteneurs en cartons remplis de masque sont récupérés lors de tournées de livraisons quotidiennes de Lyreco, selon le principe de la logistique inversée (« reverse logistic »). Ensuite, « les flux des masques usagés sont massifiés dans les 41 plateformes régionales puis dans les deux centres de distribution de Lyreco en Mayenne et en Saône-et-Loire, explique le fournituriste. Lorsque les volumes sont assez importants pour charger un camion, ils sont transportés chez Cosmolys qui s’occupe alors du traitement de ces déchets. »

Dans son centre de tri d’Avelin, près de Lille, l’entreprise désinfecte les masques par micro-ondes, puis sépare le textile en polypropylène des barrettes nasales métalliques et des fils élastiques. Ce polypropylène est finalement « broyé et régénéré pour produire des granulés qui peuvent alors être utilisés comme matière première secondaire à la fabrication de composants plastiques dans l’industrie automobile française », conclut Cosmolys.

Source : https://www.flotauto.com/masques-jetables-automobile-20210329.html

L’allongement de l’autonomie des voitures électriques s’est effectué si simplement et rapidement à la fin de la décennie 2010 qu’il existe encore en 2020 pas mal de personnes prêtes à croire qu’elle se situe dans la centaine de kilomètres.

Bon nombre d’idées reçues trouvent leur origine dans quelques prises de parole malheureuses. Il n’en est pas autrement pour les voitures électriques. En rappel, dans une interview accordée au JDD en mai 2014, Jean Todt, le président de la Fédération internationale de l’automobile qui abrite entre autres le championnat de Formule E, déclarait au sujet des voitures électriques : « Je sais que, de mon vivant, je n’en verrai pas une faire Paris-Nice sans recharge. Et recharger prend des heures ».

A Forbes en janvier 2020, il confirmait sa position : « La voiture électrique, c’est un moyen de se déplacer qui a des limites d’autonomie […] Aujourd’hui on ne peut pas envisager de faire des grandes distances facilement avec une voiture électrique ».

De 80 km à…

Au milieu des années 1990, les Renault Clio, Peugeot 106 et Citroën Saxo, pour ne citer qu’elles, offraient un rayon d’action sur le terrain qui dépassait rarement les 80 kilomètres.

En 2014, lors de l’interview de Jean Todt par le JDD, l’autonomie en conditions réelles des Renault ZOE, Nissan Leaf, Peugeot iOn et BMW i3 (sauf option prolongateur d’autonomie) s’inscrivait dans une fourchette de 90 à 160 km.

Mais déjà avec une Tesla Model S on pouvait s’éloigner de chez soi à plus de 400 km sans avoir à recharger la batterie. Capable d’embarquer jusqu’à 7 personnes grâce à de généreuses dimensions, cet engin n’a vraiment rien d’une citadine.

Si elle pouvait représenter un idéal inaccessible pour beaucoup d’automobilistes, l’américaine branchée n’est pas (ou plus) une exception qui confirmerait une règle arbitraire.

…plus de 300 km

Les Tesla Model S et Model X ne font plus cavaliers seuls en matière de généreuse autonomie. La Porsche Taycan et la toute récente rivale chinoise Xpeng P7, par exemple, roulent dans leurs sillages.

En une poignée d’année, les voitures électriques de milieu de gamme ont vu leur rayon d’action franchir le seuil symbolique des 300 kilomètres selon le cycle WLTP : Hyundai Kona (484 km), Kia e-Niro (455 km), Renault Zoé 50 (395 km), Peugeot e-208 (340 km), Opel Corsa-e (340 km), etc. Des voitures désormais rattrapées par une nouvelle génération de voitures électriques. Parmi elles, la Volkswagen ID.3 qui, avec son pack de 77 kWh, offre un rayon d’action dépassant les 500 kilomètres. Même les citadines commencent à afficher des chiffres libérateurs. Ainsi, la Renault Twingo électrique promet plus de 200 km en usage urbain. C’est bien au-delà des besoins quotidiens des ménages français.

Une autonomie bientôt égale aux thermiques ?

Si l’autonomie des voitures électriques progresse autant que pendant les 3 dernières années de la décennie 2010, elle arrivera au niveau de celle des modèles thermiques équivalents bien avant 2030.

Ce ne sont plus des centres de recherche dépendant d’universités qui le promettent, mais des constructeurs en automobiles et des fabricants de batteries qui investissent désormais des sommes colossales pour des chimies de cellules en passe de devenir matures avec des empreintes environnementales allégées. Tout simplement parce qu’ils y croient désormais, en une voiture électrique aussi émancipée que celles qui grillent du pétrole raffiné dans leurs moteurs. Les batteries dites « solides » figurent parmi les technologies les plus prometteuses. Elles pourraient arriver sur le marché dès 2025.

Prolongateur d’autonomie au besoin

Mais alors que l’autonomie de la voiture électrique rattrape à grands pas celle des modèles diesel et essence comparables, des électromobiliens, souvent parmi les pionniers du genre, estiment que cette course à la capacité énergétique devrait être stoppée. Et à défaut d’un réseau de recharge efficace sur tout le territoire, des projets sont en train de se développer.

Le plus prometteur est sans nul doute celui d’EP Tender qui poursuit un programme de prolongateur d’autonomie partagé monté sur remorque, capable de fournir au besoin, pour un tarif très compétitif, un surplus de capacité de l’ordre de 60 kWh. Ce système, basé sur des parcs d’échange installés le long des grands axes, non seulement permettrait de se contenter pour son VE d’un pack d’au plus 50 kWh, mais offrirait aussi la possibilité de traverser la France en voiture électrique aussi rapidement qu’avec un modèle essence ou diesel.

Le Paris-Nice sans perdre des heures aux bornes de recharge, c’est pour bientôt ! A condition que chacun (financeurs, constructeurs, décideurs politiques, influenceurs, automobilistes) joue le jeu bien sûr.

Source : https://www.automobile-propre.com

Vous rencontrez des difficultés pour choisir votre voiture d’occasion ? La tâche s’avère plus ardue que prévu ? Vous vous interrogez sur les critères à évaluer pour dénicher le modèle qu’il vous faut ? Quelles dispositions prendre pour éviter les tromperies comme les vices cachés ? Cet article de notre guide de la voiture d’occasion vient à point nommé pour vous indiquer sur les étapes à suivre pour réaliser votre projet.

Trouvez le modèle qui vous correspond

L’achat d’un véhicule de seconde main implique au préalable une réflexion permettant d’identifier par la suite le modèle que l’on souhaitera acquérir. Celle-ci s’articule autour de plusieurs points.

Déterminez la silhouette adaptée : citadine, berline, SUV, monospace, break

Outre l’aspect esthétique, le type de carrosserie influence plusieurs facettes de l’acquisition de votre auto d’occasion. Mais ce qu’il importe de considérer dans votre choix se résume à vos attentes. L’utiliserez-vous dans le cadre de votre profession ? Sera-t-elle destinée à transporter votre famille ou seulement vous ? Uniquement en agglomération ou pour des trajets plus longs ?

Vous l’aurez compris, l’objectif est d’anticiper l’utilisation de votre véhicule, afin de déterminer si vous avez besoin d’une micro-citadine comme une Smart, d’une berline polyvalente comme la Peugeot 308, ou d’une familiale type SUV voire monospace.

Quant aux sportives, coupés et cabriolets, ils conviennent particulièrement en tant que véhicule secondaire, mais resteront toutefois appropriés à un usage au quotidien pour certains profils spécifiques de conducteurs. À vous, donc, de faire le point sur vos besoins avant de vous décider.

Considérez le type de trajets que vous effectuerez

Certes, votre parcours moyen décide de la silhouette de votre véhicule, mais il détermine aussi la motorisation dont il doit s’équiper. Pour les agglomérations et les trajets courts, les modèles électriques et hybrides (rechargeables ou non) constituent le choix idéal. Dans un souci d’économies, les essences feront aussi l’affaire et se montreront polyvalentes pour un usage extra-urbain. Toutefois, elles ne peuvent pas rivaliser avec les moteurs Diesel qui s’imposent, quant à eux, sur des trajets plus longs.

Optez pour une marque dans votre budget

Renault, Peugeot, Citroën, Volkswagen; Mercedes, BMW, Dacia, Toyota, Nissan… Ce sont quelques-uns des noms qui reviennent le plus souvent lorsque l’on recherche une voiture d’occasion en France. Mais chaque marque se positionne sur un créneau différent, d’une part dans l’identité de sa gamme, mais surtout dans les tarifs qu’elle pratique. Il convient alors de se demander quelles sont les marques qui conviennent le mieux à votre budget.

Ainsi, on trouvera principalement quatre catégories :

Notez que sur le marché de l’occasion, les modèles de certaines marques subissent une forte décote, et on trouve ainsi des véhicules de luxe âgés d’une dizaine d’années pour un tarif inférieur à celui d’une berline généraliste récente. Or, derrière ce prix affiché, certaines marques induisent des coûts d’entretien élevé. Ainsi s’il est possible de trouver une belle Maserati ou une Mercedes AMG d’occasion pour un tarif très abordable, notez que les coûts d’entretien, eux, ne décotent pas.

Renseignez-vous sur sa fiabilité

À ce sujet, vous pouvez essayer de vous renseigner sur la fiabilité du modèle convoité. Internet regorge d’informations utiles à cet effet. Évitez de tomber dans le piège du “constructeur fiable” défendu par ses aficionados, car s’il est vrai que certains s’en sortent statistiquement mieux que d’autres, plus ou moins toutes les marques ont déjà eu des modèles à problèmes. Un même modèle peut même s’avérer extrêmement fiable, ou très fragile d’une motorisation à une autre. C’est pourquoi il est important de procéder au cas par cas. En d’autres termes, plus votre recherche sera spécifique, plus elle sera pertinente.

Choisissez une auto en bon état

Pour contrôler l’état d’un véhicule d’occasion, vous devez d’une part l’inspecter soigneusement tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, et d’autre part reconstruire son historique d’entretien. Pour ce faire, le vendeur (particulier ou professionnel) doit mettre à votre disposition certaines pièces dont notamment :

Ces documents renseignent sur l’âge du véhicule, les dommages, les pannes (mécaniques et électriques), et les réparations subies. Vous devez également consulter le compteur, et vérifier si le kilométrage indiqué est cohérent avec celui marqué sur les factures. Vous pouvez également recourir à un expert ou un garagiste de confiance pour établir une adéquation entre ces différents éléments.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, un historique fourni avec de nombreuses factures est bon signe (à de rares exceptions près), car il témoigne d’un entretien rigoureux par les anciens propriétaires. Le plus inquiétant serait de faire l’acquisition d’un véhicule dont l’historique est manquant ou clairement incomplet.

Il convient de souligner que l’état du véhicule aura un impact significatif sur sa valeur. Il vous permettra de revendiquer un rabais plus ou moins important dès lors que des problèmes ou des incohérences sont décelés lors de l’inspection de son historique.

Ne vous jetez pas sur la première occasion venue

L’enthousiasme lié à l’achat du modèle désiré prend le dessus lorsque vous découvrez une offre de vente correspondant à ce que vous recherchez. Cependant, sauter sur cette aubaine peut s’avérer décevant une fois l’adrénaline descendue. Tout d’abord parce qu’à l’heure d’internet, et surtout sur les sites de vente entre particuliers, un prix “exceptionnel” est bien plus souvent une arnaque qu’une excellente affaire. Ainsi il convient de ne pas se lancer tête baissée dans le processus d’achat d’une auto en se basant exclusivement sur son prix.

Il convient dans un premier temps de scruter les petites annonces de revente sur Internet pour comparer les différents prix proposés. Cette démarche permet d’obtenir assez d’informations pour ensuite mieux discerner les vraies bonnes affaires au milieu des prix suspicieusement bas et des véhicules surcotés.

Négociez le prix

Vous avez trouvé un véhicule qui vous paraît idéal, mais son prix est un peu élevé ? Vous pouvez toujours négocier son prix par la suite pour obtenir un rabais ou d’une remise. À cet effet, les données recensées jusque-là joueront un rôle déterminant. Ainsi, qu’il s’agisse d’un véhicule acheté en France ou importé, dès que vos recherches aboutissent, vous vous armez de ces informations pour mieux débattre du prix.

Vous pouvez aussi vous servir des outils proposés par certains sites pour évaluer la cote d’une automobile. Ils vous donneront une idée de son coût, ce qui peut s’avérer très utile.

L’essentiel à retenir

Comme pour une voiture neuve, acheter une voiture d’occasion ne peu pas se faire du jour au lendemain. Il est vrai qu’il est difficile de bien choisir sa nouvelle voiture quand on dispose peu de connaissance technique du domaine automobile. Pour vous aider à choisir, parmi les nombreux modèles existant sur le marché de la seconde main, celle qui correspond le plus à vos besoins Caroom vous a récapitulé les 8 critères à prendre en compte :

Avec une pression réglementaire toujours plus accrue, de nombreux constructeurs automobiles se lancent dans la réalisation de véhicules électriques et hybrides. Malgré les nombreux bénéfices écologiques et économiques loués, il reste plutôt onéreux d’acquérir ce type de véhicule au premier abord. Pour aider certains à sauter le pas, il existe des offres vertes telle que celle d’Engie.

Avec un prix remisé sur le kWh, les propriétaires de véhicules électriques ont l’occasion de réaliser de belles économies. Les avantages sont encore plus intéressants avec leur option heures pleines/heures creuses proposée par le fournisseur. Lumière sur les caractéristiques de l’offre Élec’car d’un des plus grands fournisseurs d’énergie français.

Engie : le contrat pas cher pour les  véhicules électriques

Avec son contrat d’électricité pour voiture électrique ou hybride, Engie propose aussi de l’électricité à ses clients. Et ce n’est pas tout, l’opérateur historique de gaz propose une électricité 100% verte : l’électricité consommée est totalement réinvestie dans des ressources électriques renouvelables. Ainsi, le fournisseur promeut une mobilité durable et accessible à tous. Pour bénéficier d’Élec’car, il faut être propriétaire d’une voiture électrique hybride ou rechargeable. Il faut également être équipé d’un compteur heures pleines/heures creuses et ce, quel que soit le compteur même Linky.

L’abonné profite donc d’une réduction de 50% sur sur les huit heures creuses quotidiennes définies par le gestionnaire de réseau public (Enedis). Une plage horaire idéale pour recharger sa voiture électrique à moindre coût. Attention toutefois, pour bénéficier de cette remise, le nom figurant sur le contrat de fourniture doit être le même que celui inscrit sur la carte grise du véhicule électrique. Bien évidemment, ce contrat d’électricité d’une durée de trois ans renouvelable, couvre tous les besoins énergétiques du foyer en plus de celui du véhicule électrique en question. Il est, de plus, sans engagement de durée pour le client.

Toutefois, le dispositif Wallbox, qui permet de charger à domicile son véhicule électrique, n’est pas inclut dans l’offre Élec’car d’Engie. Réputé assez élevé, le prix de cette borne reste cependant à la charge du client. Fort heureusement il peut être compensé par les fluctuations des tarifs indexé sur le prix de l’électricité. Ainsi, même avec un contrat forfaitairement plus élevé, le client pourra faire de nombreuses économies notamment sur les recharges de bornes publiques et sur l’essence.

Les points essentiels de l’offre Élec’car d’Engie :

• Une offre réservée aux détenteur d’un véhicule électrique ou hybride ;
• sans engagement de durée pour le client ;
• une offre d’électricité verte ;
• des prix indexés sur les tarifs réglementés de l’électricité ;
• des économies réalisées ;
• avec une souscription en ligne et un suivi déménagement si besoin est.

Les prix pratiqués par Engie avec le contrat d’électricité verte Élec’car

Comme mentionné précédemment, le fournisseur promet une remise de -50% sur son contrat d’électricité. Cela signifie que l’option heures pleines/heures creuses est obligatoire. Les tarifs de cette option sont fixés par Enedis en fonction de la localisation de l’abonnement en électricité. Ainsi, les heures creuses permettent une consommation du kWh moins élevée et donc une facture plus légère pour l’abonné.

Selon la grille tarifaire de l’offre d’Engie, les prix pratiqués sur l’électricité le jour sont de l’ordre de 18,8 centimes TTC et 11,4 centimes TTC la nuit pour une remise de 50% au total. Ces prix sont les mêmes pour toute installation électrique. La nuit est donc le moment le plus propice pour recharger l’ensemble de ses équipements électriques les plus coûteux – lave-linge, cumulus – afin de réaliser de belles économies d’énergie.

Toutefois, il est important de noter un tarif d’abonnement assez élevé sur l’offre Élec’car d’Engie. En effet, il s’élève à 198,28€ TTC/an pour la plus petite puissance électrique de 6kVa, soit 16,52€ TTC mensuellement. Ce tarif n’inclut évidemment pas la consommation au kWh. Cependant, il est important de noter que ce tarif sera compensé par les économies réalisées en heures creuses pour les voitures électriques la nuit et ses autre équipements.

Pour terminer, le fournisseur met l’accent sur sa capacité à proposer une électricité verte à son client, une électricité d’origine hydraulique, éolienne et solaire, et surtout certifiée par des Garanties d’Origine. Un avantage supplémentaire en faveur des voiture électriques.

Les avantages à souscrire Élec’car, l’offre pour véhicules électriques :

• une électricité 50% moins chère la nuit ;
• grâce à l’option tarifaire obligatoire “heures pleines / heures creuses” ;
• un prix de l’énergie moins élevé en heures creuses ;
• une électricité certifiée 100% verte chez le fournisseur Engie.

Source : Engie